La nouvelle gazette numéro 28 vient d’être imprimée et sera bientôt disponible chez de nombreux commerçants de l’avenue Gambetta. En avant première, vous pouvez la feuilleter sur votre téléphone ou votre PC.
Au sommaire de cette gazette :
La circulation à Hyères ;
Brev’Hyères ;
Le regard de Louis ;
La page d’histoire ;
etc..
Pour ouvrir la gazette il suffit de cliquer sur la vignette du document, dont les feuilles qui s’agitent au passage de votre curseur vous invitent à la lecture.
Une fois ouverte, le menu sous le Flip book tel qu’il est représenté sur la photo permet plusieurs possibilités de lecture de la gazette et dans l’ordre de la gauche vers la droite :
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Cette année 2026, le CIL Gambetta et les associations hyéroises se mobilisent pour contribuer à la collecte annuelle des fonds pour le Téléthon.
Le CIL Gambetta remettra la participation financière collectée lors de la dernière animation ayant réuni les adhérents.
Le CIL distribuera avec la Gazette n° 28 un appel au don initié par le « Don du Sang » en liaison avec le Crédit Agricole et soutenu par la Ville de Hyères. Cet appel ci dessous peut aussi être téléchargé en cliquant dessus pour être imprimé.
Vous trouverez également une invitation à l’animation « Tous en jeu » qui se déroulera à l’espace de la Villette le samedi 6 décembre de 13h30 à 18h00.
Commençons cet article en nous référant à un temps que les moins de.. 50 ans ne peuvent pas connaître. La circulation automobile à Hyères en ce temps là se faisait dans les deux sens sous les fenêtres des immeubles de l’avenue du général de Gaulle et celles de l’avenue des îles d’Or ! Si les promeneurs faisant du lèche vitrines déploraient certainement le manque d’espace sur les trottoirs, les commerçants quant à eux se satisfaisaient de l’animation bruyante devant leurs devantures, signe d’une activité commerciale dynamique. Les camions, voitures et bus polluaient certainement plus que les véhicules d’aujourd’hui et il ne faisait pas bon de mettre le nez à la hauteur des pots d’échappement. Après avoir passé l’age du vélo, avec nos petits talents de mécaniciens en herbe, nos cyclomoteurs trafiqués et bichonnés, parfois bruyants, devenaient les véhicules de transition pour l’apprentissage de la route en attendant l’âge du permis de conduire.
Une circulation compliquée en centre ville dans les années 60 et 70.
À cette époque il n’était pas question de traverser la ville d’Est en Ouest par la voie Olbia qui était zone agricole réservée des horticulteurs et des maraîchers. En arrivant par l’Est de la ville et le Golf Hôtel, il fallait emprunter l’avenue du XV ème Corps puis l’avenue Alphonse Denis avant de traverser le centre ville par la place du Portalet pour rejoindre l’avenue Riondet et la route de Toulon. Il faut souligner aussi que les communes alentours n’étaient pas encore devenues le lieu résidentiel des habitants qui, aujourd’hui transhument chaque matin vers les zones d’activités commerciales et d’emploi de Toulon Provence Métropole pour y travailler ou pour consommer et, circulent dans le sens inverse le soir venu. C’était également une époque ou la carte scolaire n’existait pas et nous nous rendions à l’école à pieds.
Aujourd’hui les choses ont évolué, notre ville s’est étendue, un axe de circulation à 2 fois 3 voies séparées par un terre plein la traverse et nous coupe des quartiers de la gare et celui d’Olbus Riquier. Ce boulevard créé sur le tracé de l’ancienne voie romaine d’Olbia, voulu par notre ancien maire M Mario Benard et inauguré par son successeur M Jean-Jacques Perron en 1977, draine une circulation permanente d’Est en Ouest et vice-versa. Sur proposition de M Politi, maire en 2010, ce boulevard a changé de nom pour prendre celui de l’avenue Ritondale (maire de la ville de 1983 à 2008).
Si les véhicules depuis les années 70 se sont améliorés en polluant beaucoup moins, leur nombre quant à lui a explosé permettant à chacun dans une famille, dès que l’âge le permet, d’avoir son propre moyen de locomotion motorisé à 2 ou 4 roues. Dans le cœur de la ville, les rues piétonnes ont remplacé l’ancienne voie de circulation automobile en apaisant la déambulation des passants devant les vitrines.
Une circulation souvent saturée sur l’avenue Ritondale.
Nous devrions nous satisfaire de cette circulation qui s’est excentrée de notre cœur de ville pour rejoindre l’avenue connue sous les deux noms Olbia ou Ritondale selon celui que vous voudrez lui donner, mais s’était sans compter sur les conséquences des évolutions ci-dessus.
A présent..
La ville ces 50 dernières années a connu une augmentation importante de la population. Elle est passée de 36 000 habitants en 1975 à 56 000 aujourd’hui (source INSEE). Cet accroissement de la population s’est accompagné bien entendu d’une extension urbaine avec la construction de logements dans des nouveaux quartiers assortis d’établissements scolaires, d’installations sportives et de loisirs, des zones de commerciales, etc..
L’ augmentation de la population a été suivie de l’augmentation du nombre de voitures. Leur nombre atteint aujourdh’ui une moyenne de 1,5 véhicules par foyer sans compter les engins de déplacement individuel motorisé qui sont autorisés à partir des plus jeunes âges. Ces moyens de déplacement vont de la voiture sans permis à la trottinette électrique, disponibles à partir de 12 ans en passant par des vélos assistés dont l’équipement pneumatique et la vitesse font parfois plus penser à des motocyclettes qu’à des vélos conventionnels.
Cyclomoteur ou vélo ?
Le constat..
Les conséquences de ces évolutions et du mode de vie sur notre environnement se traduisent par un changement des nuisances liées à la circulation. Le flux de circulation traversant la ville s’est déplacé sur l’avenue Ritondale et n’a cessé de se densifier avec des pointes aux heures de prise et de cessation du travail et un flux continu en journée estivale avec le flot incessant des touristes. Certes le nombre de véhicules électriques et hybrides grandit qui représente prés de 5% (source SDES) du parc automobile circulant dans notre pays au 1er janvier 2025. Pourcentage qui n’est pas encore suffisant pour faire baisser la pollution de l’air à proximité de notre boulevard et le bruit de cette circulation ponctué bien souvent par les sirènes hurlantes des véhicules d’intervention des Pompiers, du SAMU ou de la Police qui demandent à se faire ouvrir le passage. S’agissant d’une voie de liaison (D 98) pour ce boulevard traversant notre commune, il n’est pas question d’imposer un classement Crit’Air pour emprunter cette route. La vitesse sur l’avenue Ritondale, bien que limitée à 50 km/h sur toute la traversée de la ville n’est pas toujours respectée. L’arrivée sur le rond point Petit pour rattraper l’autoroute A 570 semble être comme une délivrance pour beaucoup d’automobilistes frustrés d’avoir contenu la puissance de leur moteur. Une traversée de ce rond point, un temps limitée à 2 voies pour faire ralentir et diminuer la nuisance sonore, mais une mesure qui a rapidement été abandonnée. Il est donc difficile et parfois dangereux de s’insérer dans la circulation en arrivant des rues adjacentes. Ces mêmes automobilistes oublient également que la vitesse reste limitée à 70 km/h entre ce rond point et l’échangeur de l’hôpital.
Dans notre quartier Gambetta du cœur de ville, on ne peut pas évoquer de réelles difficultés de circulation si ce n’est ponctuellement à certains endroits. Il s’agit généralement des horaires de sortie de classe où les parents se rapprochent au plus prés des établissements pour récupérer leurs enfants scolarisés à Anatole France, au lycée Jean Aycard ou encore à proximité du parking du Versin pour les lycéens et collégiens venant des établissements Maintenon et St Joseph. A ces horaires, ces afflux de circulation créent des ralentissements parfois importants comme dans la rue du 8 mai 1945 tous les jours à partir de 17h00.
La vitesse..
La vitesse des véhicules est limitée à 30 km/h dans le cœur de ville. Plusieurs radars pédagogiques pour sensibiliser aux excès de vitesse ont été installés sur les axes stratégiques de l’avenue Beauregard ou encore Ambroise Thomas mais supprimé dans l’avenue Gambetta. Il est malheureusement fréquent de voir ces radars s’illuminer de rouge en indiquant parfois des excès jusqu’à 60 km/h, soit le double de la vitesse autorisée.
Une zone 30 dans tout le cœur de ville qui n’est pas toujours respectée.
Le stationnement..
Le stationnement est généralement aisé en semaine. Pour ceux qui sont prêts à marcher un peu en quittant leur voiture pour rejoindre leur destination, l’offre de stationnement existe dans la ville. Près de 1700 places de stationnement gratuites sont recensées en centre ville (source mairie Hyères). Il faut citer également les places dans les parkings gratuits du Versin (150 places), celui du Casino avec 435 places gratuites le samedi matin, mais aussi les parkings payants INDIGO de la place Clémenceau (416 places), le centre Olbia en face des Dames de France (443 places), le parking Joffre (111 places) à coté du Park Hôtel et le Casino (435 places) payantes pour le reste de la semaine. Tous ces parkings proposent une heure de stationnement gratuite dans la journée. N’oublions pas les navettes permettant la liaison entre le parking de 800 places de l’Espace 3000 (quartier de la gare) et la destination du centre ville.
Un affichage des places disponibles bien pratique.
La difficulté de stationnement existe cependant sur les places réservées aux professionnels assurant les livraisons. Ces places sont souvent occupées par des automobilistes peu soucieux des conséquences. Les livreurs de faît, s’arrêtent en pleine voie de circulation pour effectuer leur travail et ils bloquent ainsi le reste des véhicules derrière eux. Il peut se produire aussi que les commerçants eux même voulant se garer au plus prés de leurs boutiques utilisent les places que pourraient occuper leurs clients. Notons aussi le samedi matin, jour de marché ou le nombre de places au centre ville se restreint en raison de la présence des commerçants et camelots qui stationnent sur les emplacements. Les badauds et acheteurs sur le marché qui viennent de l’extérieur du quartier cherchent à se rapprocher au maximum avec leurs véhicules. Ils n’hésitent pas à se garer en dehors des emplacements autorisés. Nous remarquons souvent ce même comportement désinvolte par les cyclistes qui entassent régulièrement leurs vélos sur les mobiliers publics en délaissant les potences pourtant disponibles, mises à leur disposition pour sécuriser leurs 2 roues.
En l’absence de potence, les 2 roues sont entassés sur les gardes-fous.
En résumé..
Pour résumer, il semble que la circulation en voiture ne soit pas un réel problème dans notre quartier de cœur de ville et le stationnement non plus, sous réserve de se dégourdir un peu les jambes. La nuisance qui semble être la plus remarquée par les riverains et les personnes qui fréquentent le cœur de ville concerne les deux roues généralement à assistance électrique.
Les nouveaux engins de déplacement personnel motorisé (EDPM)..
De part leur vitesse, leur autonomie et leur facilité d’utilisation, ces moyens de locomotion, prennent aujourd’hui une place prépondérante dans les déplacements urbains. Leur utilisation est pourtant bien encadrée par le code de la route, mais à l’usage on s’aperçoit que ces règles ne sont pas ou très peu respectées notamment par les trottinettistes. L’augmentation importante du nombre d’accidents et de morts parmi les usagers de ces véhicules ces dernières années le prouve. Les chiffres du baromètre de l’ONISR de la Sécurité Routière montrent une augmentation de 87 % du nombre de décès liés l’utilisation des EPDM ces douze derniers mois dans notre pays atteignant 73 morts, soit 1 décès tous les 5 jours et 1000 utilisateurs de ces véhicules ont été blessés gravement, soit une hausse de 29 % dans ce même temps. Les autorités, quand elles ne ferment pas les yeux, ont des difficultés à faire respecter l’utilisation de ces véhicules dans notre quartier de centre ville. Il est donc fréquent, lorsqu’on se promène sur les trottoirs ou dans les espaces piétonniers en ville, de croiser ou se voir doubler à vive allure et parfois frôler ou bousculer par un usager en deux roues qui n’a pas sa place à cet endroit. Un geste de notre part peut entrainer une chute et ces usagers jeunes et moins jeunes, qui ne sont généralement pas équipés des protections exigées par le code de la route, risquent de graves blessures dont les premières sont les traumatismes crâniens et les blessures faciales. Les piétons et notamment les personnes âgées risquent également la chute et des conséquences graves dans ces situations.
Un danger réel sur les espaces piétons.
En conclusion de cet article et s’il y avait des progrès à demander à nos élus, ce serait d’avoir une réflexion approfondie pour diminuer les nuisances de bruit et de pollution de l’air liés à la circulation sur l’avenue Ritondale mais aussi faire respecter l’usage de ces nouveaux engins de déplacement personnel motorisé (EDPM) dans notre cœur de ville. Ces engins de déplacement urbain, comme les autres véhicules doivent respecter les règles de circulation du code de la route et trouver leur place sur la chaussée dans des couloirs suffisants et correctement balisés et non pas sur les trottoirs parmi les piétons.
Et pourquoi pas une obligation de pied à terre dans la zone piétonne du centre ville ?
Et demain..
Le projet du Pôle d’Échange Multimodal au quartier de la gare est en « route » qui devrait voir le jour en 2028. Notre quartier Gambetta sera moins concerné par cet aménagement destiné à faire converger en arrivées et départs de Hyères, les différents modes de transport, que ce soit la liaison vers l’aéroport, les trains en gare, les bus et les navettes vers les quartiers dont celui du cœur de ville et pour les voitures un parc de stationnement en étage doublé en nombre de places pour passer à 500 places.
Un parc de stationnement que nous sommes impatients de voir.
La sécurité Routière dans tout ça !
Pour mettre un point final à cet article, il faut évoquer la dernière campagne de sensibilisation de la Sécurité Routière. Face à la recrudescence des comportements irascibles et violents entre les différents usagers, sur les différents modes de déplacement, qu’ils soient à pied, à une, deux ou quatre roues, motorisés ou non, sur les routes et en ville, la SR propose une grande campagne de mobilisation sur le thème : « Priorité au respect« .
Cette campagne est matérialisée par un manifeste de « 5 engagements concrets » pour sensibiliser sur l’essentiel : « chacun a sa place dans l’espace public. N’en laissons aucune à l’agressivité et à l’incivilité ».
Philippe Aubet
Réagissez à cet article en laissant un commentaire.
Nombreux hyérois se plaignent de la bétonisation de notre environnement. Pour les anciens qui ont connu la ville dans les années 60 et 70, il est vrai qu’elle a changé de physionomie. Nombreuses campagnes qui entouraient nos quartiers où se mêlaient l’horticulture florale de plein air et sous les serres mais aussi la culture des fruits et légumes ont laissé la place à l’urbanisation et aux constructions de tout genre. Cette urbanisation est parfois empreinte d’écologie avec des qualificatifs d’écoquartier ou encore avec des modes de construction se voulant respectueux de l’environnement. Cependant le constat est irréfutable pour notre ville, qui s’étend et dont la population augmente avec toutes les conséquences induites liées à la circulation, au stationnement, à la pollution qu’elle soit sonore, visuelle ou atmosphérique, à la sécurité, la promiscuité, etc..
Le comité d’intérêt local n’a pas vocation à débattre de la nécessité de construire et étendre l’urbanisation de la ville. Les contraintes liées à l’accroissement de la population, les impératifs fixés par l’État pour la politique de la ville, les schémas de répartition des différentes zones d’activités décidés par la Métropole TPM et enfin le respect de l’environnement, au petit niveau du CIL, la maîtrise de tous ces paramètres dépassent nos possibilités de réflexion d’ensemble pour en débattre efficacement et influer sur les décisions politiques de nos élus.
Néanmoins le but de notre association, composée d’habitants engagés et bénévoles, est de préserver et d’améliorer notre cadre de vie en recueillant le constat des riverains dans les domaines afférents à la qualité de la vie, l’environnement et la sécurité du quartier pour ensuite en faire état aux services concernés de la mairie tout en proposant des améliorations. Par le biais de la réprésentation des adhérents de l’association, nous pouvons donc faire remonter vers nos élus le ressenti sur ce sujet qui a trait à la qualité de la vie. Le nombre de nos adhérents actuellement de 680 dans notre quartier qui en compte environ 10 000 nous permet d’être écouté et, plus le nombre d’adhérents augmente et plus cette écoute des élus devient attentive.
Pour revenir au sujet lié à notre cadre de vie, il y a des points de satisfaction qu’il faut souligner dans l’aménagement qui accompagne l’urbanisation de notre ville. C’est le cas en limite de notre CIL, sur le quartier de la gare, avec la requalification qui nous intéresse d’un espace vert longtemps délaissé.
Pour avoir évoqué précédemment les anciens d’entre nous (dont je fais parti) et les années 60 et 70, les hyèrois de ces générations se rappellent l’époque ou la voie Olbia n’existait pas et que les campagnes et le parc du Petit Séminaire s’étendaient entre la rue Michelet et l’avenue Victoria jusqu’au quartier de la gare. La cession de ce domaine pour la construction de plusieurs programmes immobiliers et le tracé de la voie Olbia ont supprimé cet espace de verdure. Il en restait toutefois une partie sous forme de square, de l’autre coté de la voie Olbia, sommairement aménagé, sans attraction pour les enfants et familles et par conséquent peu fréquenté.
Sur ces lieux, l’évocation d’un projet de construction de 50 logements sociaux en 2020 avait ému les riverains refusant le sacrifice d’une zone verte en menant une action collective de sensibilisation sur les médias. A cette époque M le Maire s’était positionné en expliquant que de toutes façons les contraintes de construction imposées ne permettaient pas la réalisation de ce projet. Au final, il s’avère aujourd’hui que cet espace vert conservera sa vocation dans le cadre d’un réaménagement prometteur.
Un projet qui avait fait l’émoi de nombreux riverains.
Les travaux sont en cours sur les 6000 m² du « Parc du Séminaire ». Ils devraient satisfaire les jeunes de tout âge avec la création de 2 aires de jeux accessibles aussi aux enfants à mobilité réduite. Les adultes ne sont pas oubliés avec l’installation d’agrès sportifs. Ces aménagements seront complétés par un espace polyvalent pour jeux de pétanque, un amphithéatre de plein air avec gradins et l’installation de mobiliers de détente, d’un local associatif, le tout agrémenté d’une mise en lumière nocturne de type guinguette.
Le projet actuel de préservation de l’espace vert.
Cette requalification qui nécessite en outre la plantation de 35 arbres et la création de plusieurs massifs et d’une prairie sèche a commencé en juin dernier et devrait prendre fin en décembre.
Les travaux en cours de réalisation pour une livraison en décembre 2025
Pour ceux qui ont le souvenir de la stèle supportant la vierge Notre-Dame de « Saint Charles » à l’entrée du domaine du petit séminaire, si cette dernière (la vierge) avait disparu en même temps que la vocation religieuse des lieux pour rejoindre le séminaire de La Castille à La Crau, la stèle quant à elle était demeurée en place. Elle est protégée pendant les travaux par un enroulement de gaine plastique bleu. Cependant est-il nécessaire de conserver cette relique qui n’a plus sa raison d’être sans la présence de la vierge, il serait bon qu’elle soit restaurée et qu’elle retrouve un sens à son existence de stèle.
La stèle support de Notre-Dame de « Saint Charles »